Les origines

Les chandeliers viennent du Japon, d’où leur nom. Ils datent du 18e siècle et ont été fondés par Munehisa Homma, un marchand de riz qui les utilisait et a fait fortune. En occident, un auteur, Steve Nison, a fait ressortir ses principes dans plusieurs livres et a fait connaître les chandeliers japonais. Voir notre article sur les « Bougies japonaises« .

Construction

     Pour construire un chandelier japonais (bougie), il faut 4 points :
L’ouverture
• Le plus haut
• Le plus bas
• La clôture
Une bougie est généralement composée d’un « corps » et de 2 « mèches » ou « flammes » représentés par les extrémités de couleur noire. Si le cours de clôture est supérieur au cours d’ouverture, la bougie est verte. Si le cours de clôture est inférieur au cours d’ouverture, la bougie est rouge.

Lecture simple

     Le corps de la bougie, en rouge ou en vert, exprime le changement de comportement des opérateurs entre la clôture et l’ouverture.

  • S’il est vert : les opérateurs attendent une hausse pour la séquence d’après ou le lendemain.
  • S’il est rouge : les opérateurs anticipent une baisse pour la séquence d’après ou le lendemain.

     La longueur du corps exprime la force du mouvement haussier ou baissier : plus il est long, plus l’écart entre le cours d’ouverture et le cours de clôture est important. En outre, plus la flamme supérieure est longue, plus la pression des vendeurs ( à la baisse donc) est forte : le corps de la bougie se situe sur le bas de la ligne, donc proche du niveau le plus bas. A l’inverse, plus la flamme inférieure est longue, plus la pression des acheteurs – à la hausse – est forte : le corps de la bougie se situe sur le haut de la ligne, donc proche du niveau le plus haut.

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